La vie de Joojo

Dans un petit village nommé Merdirla vivait en harmonie homme et femme. Les récoltes étaient bonnes tout était merveilleux et avait la bénédiction des dieux. Dans une petite maison un courrant d’air passé faisant remué les fins de cheveux d’un bébé. Il a été nommé par ses parents 'Joojo'. Il dormait comme un ange dans toute l’innocence possible.

Tout à coup le vent se leva, la pluie commençait a tomber bientôt ce fut une puissante averse. Les villageois rentraient chez eux à toute vitesse. Certains rangeaient les linges qu’ils avaient perdus à l’extérieur. Quelques minutes plus tard un épais brouillard s’installa qui leurs glaçaient les os.

Un hurlement déchira l’obscur silence. Chaque homme s’arma rapidement de ce qu’il avait sous la main, fourche, couteau etc.… ils redoutaient tous ce qui allait arriver. Ils sortirent dehors arme à la main, prêt à passer à l’attaque. Tout à coup un chevalier noir apparut, il avait des yeux rouges qui vous traversaient le corps, son cheval était un puissant étalon noir squelettique. C’était Goodq, d’une voix grave il dit :

« Misérable immondices, rejoignez moi ou vous mourrez tous sous ma lame !! Je peux vous faire connaître la puissance et la jouissance des ténèbres, devenez mes serviteurs !! »

D’une seule voix tous les hommes crièrent :

« JJJAAAMMMAAAIIISSS !!!!!»

D’une seule masse ils se lancèrent à l’attaque. Goodq dégaina son épée, elle était flamboyante et avide de Sang. Il leva son épée en l’aire, un bruit sourd se fit entendre. Une horde de créatures arrivèrent en courrant. Chacune était aussi horrible. Ils étaient armés d’armures épaisses et de puissantes haches. En voyant ce spectacle horrifiant les villageois furent stoppés. Ils se regardèrent entre eux, une lueur d’inquiétude dans leurs regards. Ils n’étaient pas de taille et ils le savaient, ils courraient au suicide. Un homme souffla dans une trompette, elle signifiait que les femmes et les enfants devaient à tout pris s’enfuir du village. Cherchant à l’intérieur d’eux le courage nécessaire les villageois se relancèrent à l’attaque, espérant les repousser assez longtemps.


[--> la suite? j'en sais rien, on verra bien quand j'en aurais envie ]

Les deux troupes ennemies se fracassèrent l’une contre l’autre mais les créatures beaucoup mieux armées tuaient les villageois un par un. Les lames transpercèrent leurs peaux comme si elles s’enfonçaient dans du beurre. Les villageois tombaient l’un après l’autre dans des cris de douleurs, le sang coulait. Les monstres se mirent à attaquer les maisons, à poursuivre les enfants et les femmes. Malgré leurs lourdes armures ils étaient d’une souplesse et d’une rapidité incroyable, ils semblaient ne jamais être fatigués. Sans aucune pitié ils massacrèrent les femmes et les enfants qu’ils rattrapaient. La mère de Joojo était épuisée de courir, sans autre pensée que de survivre, tenant dans ses bras son fils. Elle trébuchait, était à bout de souffle. Au bout d’un moment il parvint au fleuve ou le courrant était fort les bateaux des pêcheurs y étaient accostés. Elle regardait derrière elle pour voir si elle les avait semé, mais elle entendait des pas rapides qui se rapprochaient. Malgré la douleur de ses jambes elle se mit à courir jusqu’au bout du ponton, elle monta dans une barque et enleva la corde qui l’arrimait.


Tout de suite le courrant l’emporta. Elle déposa Joojo et s’allongea dessus pour le protéger. Son rythme cardiaque commençait à ralentir, elle reprenait son souffle. Elle tendait l’oreille, mais elle n’entendait que le clapotis de l’eau. Tout à coup elle entendit un sifflement puis plusieurs. Chacun s’arrêta dés qu’il atteignait l’eau. Elle se croyait enfin à l’abri quand une douleur fulgurante lui transperça le dos. Elle se mit à saigner fortement, du sang sortait de sa bouche, sa vision commençait à se troubler et peu à peu ses paupières se fermèrent pour ne plus jamais se rouvrirent.

Au petit matin un pêcheur remarqua une barque sur un ban de sable plus loin. Il marcha en sa direction, et sentit une odeur plus intense que le poisson pourrit, une odeur à vous donner envie de vomir, une odeur de mort. Il se mit à courir de toutes ses forces, arrivé à côté de la barque il était exténué et vit un spectacle d'horreur, une femme était allongé dedans morte, avec une fléche plantée dans le dos. Prit de peur il partit alerter le village car il connassait ce genre de fléches, il y avait que les démons qui en possédaient de ce genre. Quand tout à coup:

"OOOOOOOUUUUUIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN"

Le bruit le stoppa net, il retourna vers la barque et poussa le femme morte sur le côté. Il vit un bébé, recouvert du sang de sa mére.

"OOOOOOOUUUUUIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN"
"OOOOOOOUUUUUIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN"

Il le prit dans ces bras et marcha en direction de son village, il pensait que le bébé devait avoir faim et soif et une femme était plus apte à s'occuper de lui. Tout au long du chemin le pêcheur subissait les hurlement du bébé:

"OOOOOOOUUUUUIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN"
"OOOOOOOUUUUUIIIIIIIIIINNNNNNNNNNN"

Il était ravis d'être enfin arrivé et le refila à sa femme en lui disant de s'en occuper. Il alla tout de suite parler au chef du village de la femme morte et de la fléche qu'il l'avait tué. Il lui fallut que quelques minutes pour tout leur expliquer, le chef de suite ordonna d'envoyer un message à tous les villageois de s'armer. Il avait peur qu'ils se fassent attaquer aussi. Quand le pêcheur lui demanda ce qu'il fallait faire du bébé le chef lui répondit:

"Tu l'as trouvé, alors demerde toi avec"



Le pêcheur retourna dans sa maison tout en ruminant qu'il s'était fait baiser. Il donnait des coups de pied dans les cayous qu'il croisait. Il entra et gueula:

"CHERIIIIII!!!!"

"Oui j'arrive"

Il se mit dans son fauteuil favori en peau de dragon. Sa femme s'assit à côté de lui et le regarda, attendant qu'il parle.

"Bon écoute on a un problème, en gros il veule pas s'enbêter avec ce bébé et donc on doit le garder"

"J'y ai déjà réfléchit pendant ton absence et je pense qu'on peut le garder, on a de la place et.. aussi de l'argent."

"Bof franchement un môme ça me dit rien, il va gueuler la nuit, pisser partout, faire des caprices, non franchement j'en ai pas envie"

"Je te rapelle que ce n'est pas un chien mais un bébé!!! Alors il reste point final!"

"PFfff bon d'accord, sinon tu vas encore me faire une scéne de ménage....bon je vais allez au bar boire un coup pour oublier tout ça quelques temps"

"Avant de partir tu voudrais pas connaître son nom?"

"Comment tu peux le savoir?"

"Sur la couverture inbibé de sans sang qui l'enveloppé, aprés l'avoir mise dans l'eau j'ai vut son nom qui était brodé dessus."

"Et?"

"Il s'apelle Joojo"

"Au moins il a pas le prénom d'une tarlouze c'est déjà ça, bon j'y vais moi, je serais surement pas avant le dîner