Quand je sors mon p'tit cul

Arlequin Dim 4 Sep - 17:43

Le petit tarlouze en robe promenait ses airs dans la campagne sourde et franchement, désespérément ennuyeuse, qu’est Dusso, terre des pédales que sont les enfers.
Si si, pédales… et c’est pas l’hosto qui se fout de la charité !

Ils salissent ma vielle robe avec de petites pichenettes et ça devient un tantinet coûteux en frais de lessivages et repassages, sans compter le rafistolages.
J’en ai touché un mot a Aphrodite, après bien sur, lui avoir tâter le cul avec un soin méritant, au vu de sa disproportion, mais rien à faire, c’est une feignasse…

Torak, fous-la au travail cette grognasse… !

Les fsmd se ramolliraient-ils…

Slan… t’es où ? la table… ok, bourré.

Mais, je m’égare…. Je promenais donc mon p’tit corps sur dusso, sautillant allégrement, le vent en pique dans le pif, jouant à saute-bebettes avec les bouses des enfers, sifflant en travaillant… Euh… non, le travail, connais pas.

Bref, je sortais mes esquarres de mon fort, pour une fois et il faut bien avouer que ça pue carrément la chaussette morte, depuis le passage de Grumdal.. Eh ! Pour preuve de son passage chez les tarlouzes, les murs s’en souviennent encore, et nos narines délicates de Mage raffinés et parfumés… Et merde, encore un égarement, il est temps que je change de vocation, je vais finir réellement en jupette et à plumes.

En tout cas, Grumdal, sympa pour le ravitaillement en tonneaux, mais trop généreux quand il pisse gaillardement sur les murs, à inviter avec parcimonie.

De fils en oublis, je perds le cour de mes écrits… Ah, oui…

J’aérais mes aisselles sur Dusso, quand mal m’a pris d’aller jeter un œil, au loin, parmi les p’tits zozios, sur un arbre perchés..
Dans les faits, j’avais la veille, avalé sans modération raisonnable, un peu trop de fruits sans doute véreux, ajouté à cela quelques petites bibines de mon cru et je cherchais la tranquillité urgente d’un recoins plus frais que mes intestins débordant d’enthousiasme…

Je faisais donc, ma petite affaire, enfin… on va dire ça, comme ça… quand, du bas de mon buisson hardant ( !), j’aperçus une nana pas vraiment fraîche du mois et qui reluquait mon jolie postérieur arborant sa prestation.

Je gueulais comme un putois plus vieux que moi, pour signifier mon dérangement et affirmer ma position… mon indisposition, mais en retour quelques bruits douteux, vinrent tirailler mes osselets.

Hu.. hu…

C’est bien de chez vous, c’est pas des dégorgements qu’on oubli, ça !

Je vous renvois la question, pas encore posé, mais est-ce bien raisonnable que de laisser vaquer Aprhodite n’importe où ?

aphrodite Lun 5 Sep - 15:45

#Aphrodite revenait d'une longue ballade....#

#Roulé bourré dans la neige et taquinage de jeune puceau l'avait mis en appétit .... #

#Cela faisait bien des lunes (en plus de celle de Phileas...) que la belle n'était point rentrée au berquaille ... #

#Arrivant prés de l'antre, une odeur de maison de retraite annihila son appétit titanesque .... hummmm mamie a invité des copines ? #

#Aphrodite jeta un oeil dans la salle commune ....#

#Tiens une poulette en robe bleu ... #

#Aphrodite commença à s'approcher discrètement ...

.... et d'un bon sauta derrière le comptoir ....#

BONK

# La frêle silhouette n'appartenait pas à une femme mais à se vieux pervers de Phileas ...#

#Que faire ?? .... Réfléchis un peu, aphro ! #

# Tiens .... Un vieux tonneau de bière naine ... rhaaa, c'est encore Torak qui s'est mis un tonneau de côté ... Aphrodite le déboucha ...

PLOP

...et bu quelques gorgées ...#

GLoU GLoU GLoU

Mini 'Burp' discret

# Bon maintenant trouve un truc .... #

.....

# Aphrodite se releva ....#

- pHiLeAs ! Vielle carne ! Que fait tu dans les parages !

# Le vieux croulant avait posé ses petites fesses sur un rondin et patientait en se trifouillant le nez à la recherche de trésor enfouis. #

Phileas : ApHrOdItE !

# La peur gagna la belle lorsqu'elle croisa son regard .... Il avait encore cette lueur perverse…#

#Elle pris place prés de Phileas et écouta son récit fantasque … #

- Mouarf ! tu inventerais n’importe quoi pour venir me voir toi …. Coquin …

# Aphrodite glissa sa main tout en relevant la jupe, le long de la cuisse nue et blanche de la vieille branche … #

#Sa main fut stoppé par un monticule de croûte râpeuse …. Retirant sa main vivement, une substance visqueuse recouvra sa main … D’un geste délicat Aphrodite se l’essuya sur un coin un peu moins poussiéreux de la guenille….#

- Toujours en forme à ce que je vois toi … Cela te dirais tu de passer quelque jour dans notre humble demeure ? Je pense que mes autres compagnons ne seront pas contre …

Arlequin Lun 5 Sep - 19:27

Nom d’une chaussette poisseuse, vas-tu donc ôter tes mains de mon entre-tige !

Toujours la main fouilleuse, ma vieille tanche, mais t’es pas obligé d’aplatir ma virilité entre tes doigts.
On sait jamais, dès fois que je croise encore tes bourrelets, il pourrait bien me prendre l’envie d’enfourcher ton abricot et malgré que la reproduction nous soit décemment pas recommander, nous pourrions nous contenter d’une rapide copulation en guise d’entremets.

On est où ici, une auberge, une taverne, y a de la bière ??

Je ne connais pas les us et coutumes du lieu et je n’ai pas pris la peine de saluer mamie, faute de bonnes manières, mais j’accepte ton offre, de toute façon, ils m’ont viré de mon taudis, je me demande bien pourquoi..

Allez, vieille garce, pose ton croupion sur ce tabouret, il m’a l’air en état de surmonter ton empâtement adipeux et quelque peu… dégoulinant.

Mais…

Aphro, aurais-tu l’amabilité de serrer les cuisses, je suis a jeun de seulement six pichets de bibine et mes naseaux sont encore opérationnels. Je croyais que le marmiton préparait des crevettes, mais apparemment l’odeur ne vient pas de la.

Si tu veux tâter mes oursins, va falloir me laver tout ça à grande eau et propre, s’il te plait !

Nous les tarlouzes en robe, aimons à taquiner l’anguille en gorge saine et non dans une vitrine à poiscailles avariées.

Passade de parlote, on pourrait causer chiffon, mais je doute que tes qualités se portent dans ces occupations, d’ailleurs, je me demande où elles se portent, tes qualités. Parce que coté porte-nibards, tu commences à accuser le poids des années, dis-je ou plutôt palpant allégrement.

Toutefois, j’avoue que tu as encore quelques bons restes… J’ai la limasse qui se redresse durement de sa paresse coutumière et la dernière fois que mal lui a pris, c’était…

Putois boiteux ! C’était avec toi !

Je me souviens d’un de tes coups de pieds dans mes petits bijoux de famille, mais je t’ai bien eu ma cochonne, si mes souvenirs sont encore dans ta pioche, il me semble avoir mener rondement ma p’tite affaire.. !

Rhoooo, coquine va ! Joue pas les vierges effarouchées, tu serais reine à la cour des miracles !

Contenu sponsorisé

Quand je sors mon p'tit cul

Quand je sors mon p'tit cul

Re: Quand je sors mon p'tit cul

Re: Quand je sors mon p'tit cul

Re: Quand je sors mon p'tit cul